« Zephir Oz » : différence entre les versions

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Version du 12 novembre 2016 à 12:33

Prologue

Fils de paysan, Ozimar est un enfant calme et joyeux. Il passe le plus clair de son temps à rêver et à jouer avec son écureuil spip.

Peu à peu, ce rêve devient une méditation importante. Au fur et à mesure qu'il ouvre les portes de son esprit, il acquière de l'assurance et rapidité.

À ses 17 ans, Oz réussi à ouvrir la dernière porte de son esprit : c'est une porte sacré où il a accès à ses propres pensés, qu'il peut restructurer comme il souhaite. Son contrôle sur cette pièce est si important qu'il parvient en un an à envoyer son propre corps dans son esprit, disparaissant ainsi de la réalité, et de l'espace-temps.

   Dans l'antichambre, il resta enfermé un temps incalculable à s'entraîner et à se perfectionner. Lorsqu'il désira retourner dans la réalité, un problème apparut : il ne reconnaissait pas où il était. Après quelques mois, il se rendit compte qu'il était dans le passé. Pendant près d'un an, il voyagea au travers du temps et de l'espace, assistant aux événements majeurs de l'histoire.

Lorsqu'il réussi à retourner dans son temps, rien avait changé, il s'était passé au plus quelques jours, mais lui avait acquit une expérience hors du commun et un pouvoirs proche de l'immortalité : le dédoublement, un lui étant toujours en sécurité dans l'antichambre.

Il s'enquit alors de visiter toutes les plus belle ville du monde, mais alors qu'il retournait pour la troisième fois à Scénaria, il l'a trouva en guerre. Il essaya de défendre quelques citoyens, quand au détour d'une rue, il aperçu un demi dragon, qu'il avait sauvé 100 ans plus tôt, après avoir développé en conséquent des talents de guérisseur.

   Celui ci était engagé au combat avec plusieurs adversaire, alors Oz se précipita au combat mais son ancien « compagnon » lui cria de sauver une femme. Alors il l'emporta avec lui hors du danger.

Pendant les mois qui suivirent il s'occupa de celle ci, subvenant à tout ses besoins. Il la raccompagna à son école de magie, lui promettant qu'il retrouverai son sauveur pour qu'elle puisse rembourser sa dette.

Il retourna dans le temps et donna un rendez vous futur à celui ci.

Quatre ans plus tard, après plusieurs voyages temporelles et l'acquisition d'une importante richesse et d'une lame enchanté, il vient au rendez vous avec la jeune fille, et les présenta.

Cependant son ancien ami était accompagné par une étrange créature : une sorte de lapin.

Après avoir fêté les retrouvailles, un problème surgit : la ville était attaqué par des gobelins !

Le restaurant et la dimension dans laquelle les table flottait fut détruite, et toute la troupe s'enfuit, à l'aide du vaisseau de la chose.

Tout désireux de venir en aide aux habitant ils s'enquirent d'intervenir à la porte est de la ville.

Le demi dragon usa de sa force brute et de sa magie anarchique, pour décimer de nombreux incalculable d'adversaire alors que le vaisseau faisait feu sur les rang gobelin semant la mort à tour de bras.

Oz utilisa vif argent pour affronter les gobelins, la déployant tout autour de lui tandis que son amie faisait connaître l'étendu de ses pouvoirs, projetant sur l'armé gobeline, charrette, porte, et même une arme énergétique, qui explosa !

Cependant il eut des blesser dans le groupe, et oz leur vient en aide, de même que les garde de la cité, dépouillant au passage quelques morts pour garder des souvenir.

Après un avertissement du futur, il s'effaça de la mémoire un bon nombre d'évènements, notamment celle du larcin.

Les boucliers d'argent l'interrogèrent utilisant de sortilège pour sonder son esprit, mais ne trouvère rien.

Il fut ainsi mit hors de tout soupçon.

Peu de temps après un ancien ami du demi dragon vient lui parler d'une orbe et d'un engagement. Après avoir tenter de le soumettre à l'aide d'un collier magique, ou un clone d'Oz se sacrifia pour sauver le dragon, une armure animé fut laissé dans le vaisseau, pour veiller a ce qu'il tienne ses engagements.

Ainsi tout le groupe parti en direction de l'œil du chaos. Au passage ils furent suivit par un dragon. Le demi dragon se fit dévorer en essayant de l'arrêter. Alors Oz et son amie se téléportèrent à porté du dragon, des clones ramenèrent des canapé et boule de fer, que la magicienne expédia sur le dragon, sans le blesser vraiment. Alors que le dragon faisait un piqué sur les 2 personnes, un duel de rapidité eu lieu, ou ils tuaient le dragon en lui projetant un boulet à toute vitesse, ou le dragon les dévorer.

Le dragon remporta le duel gobant net la magicienne et le bras d'oz !


Celui ci sur le coup recula, puis dans un réflexe conditionné, usa de toute sa magie pour téléporter son amie dans l'antichambre. Cependant celle ci dans la gueule du dragon retrouva le demi dragon, et s'y accrocha. Lors de la téléportation, la magie accumulé dans la gueule était si importante que lorsqu'ils disparurent, les dragon explosa, et oz, ne pouvant contenir dans son esprit ses 2 amis et la magie du dragon, fut projeter, « recrachant » dans la réalité ses 2 amis.

Après s'être remit de ses émotions, il soigna son bras à l'aide de sa magie, mais alors que celui repoussait, il n'était plus de la même couleur : il était gris et émaner de magie, de magie dragonnique.

Et ce n'était qu'un Drakôn.

Après cela, ces trois personnes commencèrent à délirer quelque peu, Oz regardant sans cesse sa nouvelle main, abattu.

Le lendemain oz était calmé.

Quelque jour après ils arrivèrent au beau milieu du désert, guidé par le demi dragon, face à une oasis à proximité de collines. Un peu plus bas, un village de nomade s'était installé.

Oz envoya un clone marchander avec les habitants, troquant ainsi un pendentif inutile contre une épée de leur tribu, et apprenant au passage que l'orbe devait être dans les montagnes.

Ainsi, ils envoyèrent plusieurs clone rendu invisible grâce au demi dragon dans les montagnes. Peu de temps après, un des clone trouva par chance quelque chose qui ressemblais à l'entré d'une grotte caché.

Tout le groupe se téléporta alors a l'entré, et se mirent à fouiller pour trouver un mécanisme d'entré. Par chance oz le trouva, et ainsi ils purent entrer.

Cependant, la magie était absorbée, bien qu'il pu créer des clone qui les accompagnèrent.. Cependant, il n'avait aucune connexion mentale avec eux.

Ils descendirent dans les ténèbres pendant de longues minutes, puis arrivèrent dans une pièce contenant l'orbe et un bon nombre d'objet aussi divers que varié. Tous cherchèrent un moyen de prendre l'orbe puis partirent. Seul Oz resta avec ses clones, hésitant à prendre l'un des artéfacts.

Il s'y résout et ressortie, suivi de ses clones chargé d'artéfact.

Cependant à la sortie, alors qu'il tendait les bras pour les récupérer, les clones s'enfuirent avec ses bien précieux !

Trahi par lui même, Oz resta figé alors que les autres tenter d'abattre ses clones. Le demi dragon redouter l'arrivé d'un seigneur dragon, le Destructeur, attiré par tant de magie. A l'aide du vaisseau et de la magicienne de foudre ils réussirent à abattre deux- clones, celui qui porter une lance et celui qui porter un arc. Ceux tenant l'épée, l'armure et le coffre réussirent à s'échapper. Au milieu de la bataille, les nomades voulant garder le lieux sacré ne firent que se faire abattre.

Oz transporta d'abord l'arc dans le vaisseau, et s'enquit de récupérer la lance, alors que le demi dragon et la magicienne avait trouvé un nouvel adversaire pour reprendre l'orbe : l'armure !

Il récupéra la lance alors que ses clones récupérer dans son antichambre la jeune fille, et le demi dragon disparut d'un coup. Lorsqu'il attrapa la lance, son esprit fut envahi d'une force phénoménale. D'abord apeuré de perdre le contrôle de lui même, il fut alors intrigué et fusionna son esprit à celui de la lance, gardant le contrôle sur son propre esprit et gagnant une puissance exceptionnelle. Alors qu'il fusionnait avec son arme, une vague de magie maléfique venant d'on ne sais ou se déversa en lui, et lorsque tout fut calme dans son esprit, son amie avait disparut de la dimension.

Il alla à la suite rechercher l'arc dans le vaisseau. Sa seule présence à bord permit au vaisseau d'être recharger automatiquement en énergie magique. Il récupéra aussitôt l'arc et l'envoya dans son antichambre. L'arc était un artéfact unique : il touche toujours, même sans flèches.

Il s'en voulait énormément, alors disparut du vaisseau, laissant le Mog rentrer chez lui et se mettre à l'abri.

A cause de l'Orbe, de sa puissance maléfique, tous ses amis avait disparut, surement mort. Il n'arrivait à en localiser aucun.

Il s'enquit de trouver un moyen de bannir l'orbe, ou du moins de trouver un moyen de la mettre hors d'état de nuire. Le seule endroit intouchable ou personne ne pourrait la localiser n'était autre que son propre esprit.

Grâce à la puissance de sa lance, il avait désormais un esprit suffisamment puissant pour contenir l'orbe. Mais d'après ces recherches, cela risquer de le tuer, et tout aurai était vain.

Il fit alors confectionner un médaillon très précieux, enchanté par de nombreux sortilège, tous scellé dans le médaillon.

Il trouva un moyen d'enfermer son esprit dans le médaillon, et un procédé pour qu'en présence de l'orbe, il puisse l'absorber aux travers des dimension.

Conscient d'avoir causé de nombreux dégât, Oz s'enferma dans l'antichambre sacré, scellé dans un pendentif, attendant d'être proche de l'orbe pour reprendre ses forces et lutter contre elle. Il fini ses préparations en ôtant de son corps toute sa mémoire, ne laissant que la base de son âme, espérant qu'il puisse se reconstruire et devenir assez fort pour lutter à nouveau contre l'orbe.

Chapitre 1 – Zéphir

Le jour se lève sur une paisible contré, inondant de chaleur cette douce vallée, illuminant peu à peu une petite demeure.

Au milieux d'une pièce, une famille de paysan prend son petit déjeuner en rigolant de bon cœur, se préparant à une journée difficile de récolte.

Parmi les ainées, l'un d'eux est soucieux, et ne se mêle pas trop aux amusements. Il sourit, mais il est penseur. Un homme entre dans la pièce, à première vu le chef de famille. Il s'agit d'un grand gaillard bronzé par le soleil, les mains usées par la terre. Il fait vivre sa famille, et c'est son plus grand bonheur. « c'l'heure les enfants ! Allez, tous aux champs ! » Alors qu'il reste à l'entré, tous sortent en rigolant, se munissant au passage de pioche ou fourche pour certain. La pièce est vide,seul ce jeune reclus reste à table, immobile, les yeux rivés sur son assiette vide. « T'viens pas Zéph' ? -Je ne me sens pas très bien grand père, la journée d'hier m'a épuisé – le patriarche le regarde suspicieux,un éclat de tristesse dans les yeux. T'es sûr qu'c'est ca l'cause ? Pou'tant, t'étais en forme hier, tu jouais avec Spip, qu'est ce qui t'arrive ? » Le jeune tarde à répondre, se passe la main dans les cheveux par réflexe et réplique avec mou que son père lui manque. A ce moment là, le visage de son interlocuteur devient sévère. « T'peux aller te rep'ser, ton c'sin Fredrick s'chargera du bétail à t'place. Tache d'te remettre d'aplomb. » Sur ce, il s'en va, laissant les lueurs de l'aube faire dorer les cheveux châtain clair de l'enfant qui après quelques instants se lève et monte à l'étage.

Une fois la porte fermé derrière lui, il ouvre un buffet, soulève le double fond et en ressort un médaillon finement gravé. A coté de celui ci repose une dague magnifiquement ouvragé, faisant fusionner deux métaux précieux qui s'enroulent l'un dans l'autre. Le premier est d'une couleur argenté s'illuminant de multiple reflet coloré, tandis que le second est d'un sombre magnifique et imposant.

Il les regardes un instant, alors que ses doigts effleure une lettre décacheté à son nom. Il reste pensif, prend le médaillon, et s'allonge sur son lit songeur.

Il reste ainsi quelques heures, laissant les courbatures s'évanouirent, jusqu'à ce qu'un bruit de pas annonce le retour de ses proches. Il se lève alors en trombe, range le médaillon et repose le double fond, comme si de rien était.

Il retourne auprès des siens, qui ont d'après un de ses cousins bien avancé dans la récolte. Zéphir annonce qu'il est mieux reposé, et qu'il pourra aider cet après midi.

Les jours passent, et Zéphir n'arrive pas à se défaire d'un étrange sentiment, d'un malêtre intérieur qui le perturbe. Il s'occupe des animaux car c'est la ou sa petite musculature ne le gène qu'un minimum. Dans la famille, il est sujet aux moqueries, car il est frêle et peu endurant, puis il s'exprime bizarrement, un peu comme les gens des villes.

Il ne le prend pas mal, car il sait que c'est amical, et tous, conscient de ses faiblesses, lui laisse les taches qui requièrent le minimum de force. Un soir, au milieux du repas, coupant les rires comme un coup de foudre, des coups sont porté à la porte. Il n'y a aucune lumière à l'extérieur. Tout le monde est immobile. Seul le grand père se lève et se dirige vers la porte, l'entrouvre dans un premier temps, et se glisse de sa taille imposante dans l'encadrure de la porte. « Z'êtes ? Grogna t'il agressif, tendant le bras pour attraper la fourche à l'entré. - Jaya Baya, mais quelqu'un comme vous n'a que peut de chance de me connaître. Je viens chercher Zéphir. - Lance une voix féminine de manière tranchante. - Hein ? -Tout d'abord lâchez cette fourche derrière vous, ensuite vous n'avez pas votre mots à dire. - décontenancé le vieille homme esquisse un pas à reculons, ce qui ne dérange pas la femme qui continu aussi sèchement – Cet enfant à le Don, et il faut que je lui montre comment s'en servir. Il va me suivre et être formé. - Mais je … - … n'ai pas l'argent pour lui offrir se privilège ? Sa formation à déjà était payé. - Sur ces mots, l'homme lâche la porte qui s'ouvre lentement, dévoilant une silhouette féminine à l'allure imposante.- Qu'il prenne ses affaires, nous partons à la suite. Je n'ai pas plus de temps à perdre ! »

Sur ce elle se retourna et s'enfonça dans les ténèbres où elle se mêla dans l'instant.

Tout les regards convergèrent vers Zéphir, l'air paniqué. Le grand père se retourna, tête basse, rumina quelque chose, et bredouilla un « va ! » tout juste audible. Frédérick se leva en un éclaire, l'air furieux, les poings serrés sur la table : « T'VAS QUAND MEME PAS LE LAISSER Y ALLER ??? Il est d'la famille, on n'la connait pas, on ne sais pas ce qui peut lui arriver ! - Sa fureur estompa instantanément, refroidit par une claque du doyen. « Tu ne sais pas de quoi tu parles – répliqua t'ilèchement, puis il se tourna vers le petit fils : « Prend tous ce dont tu penses avoir besoin et part ! Sache que tu sera toujours le bienvenu ici … » Sa voix était tremblante.

Quand à lui Zéphir n'arrivait pas a comprendre ce qui lui arrivé, sa vision était devenu flou, des gouttes de sueur froide ruisselait sur ses tempes qui raisonnaient comme des tambours. Ses muscles était tous engourdi, tout allez au ralenti . Lorsqu'il se leva de sa chaise, sous le regard de sa famille sans voix, seul le poids pesant du silence seulement brisé par ses pas se fit sentir. Ses yeux cherchait ceux de son grand père en quête de réconfort si infime soit il, mais en vain.

Il gravi les escaliers en ce qui semblait une éternité, prit son médaillon et sa dague, qu'il cacha sous ses habits, prit des rechanges et deux-trois ustensile, pour le voyage. Prés dix minutes, son baluchon était prés. Seulement, sa famille lui avait préparer deux autres sac de provisions et des souvenirs.

Tous cela se fit dans le silences, quelques un retenaient des larmes, d'autre les laisser couler, lui ne savait comment réagir, tant cela était soudain. Au fond de lui quelque chose c'était réveiller, ce malêtre avait disparut.

Lorsqu'il sortit, la femme l'attendait. Elle s'approcha de lui et le toisa : « c'est toi Zéphir ? Bon déjà oubli tout ca – au même instant, tout ses sacs se déchirèrent et tout se rependit au sol. - Là où on va tu n'en aura pas besoin. Suis moi ! » sur ce elle s'éloigna de la maison, Zéphir s'enquit de la suivre, sous le regarde de sa famille réuni devant la porte, le voyant s'éloigner lentement.

Lorsqu'ils ne furent plus en vu de la demeure, Jaya s'arrêta et lui tendis une pierre, il l'attrapa, et dans l'instant disparut, dans un silence glacial.

Lorsqu'il rouvrit les yeux il était dans un lieux magnifique : toute sortes de couleurs illuminait la pièce, surplombé par un toit de flamme multicolore. Par moment, des gerbes de feu était propulsé vers le sol et se changer en oiseau de feu, transportant des messages, ou en recevant. Ici et la était disposé des objets étranges et impressionnant, des manuscrit aussi vieux que le monde et surement indéchiffrable. Il y avait des objets précieux brillant de milles éclats, des armes richement décorées, comme finement ouvragées, ainsi qu'un bon nombre de trophées. Au centre de la pièce, il y avait comme un grand carré vide de tout objet, surélevé d'une marche. Les bords de celles ci était recouvert de glyphes incompréhensible. Au bout de la pièce il y avait une porte, prés de laquelle reposé une orbe sur un piédestal.

Zéphir resta bouche bée devant tant de splendeur pendant un bon moment. Soudain un image flotta dans la sphère et dévoila le visage d'un jeune homme. « Vous avez fait vite Dama Baya. Je vous souhaite un bon retour parmi nous. Je vois que vous avez trouvé votre second apprenti. - En effet Alfred De Vindi, et j'aimerai que vous lui fassiez visiter l'école. Vous lui présenterez nos enseignement qu'il pourra suivre si bon lui semble, mais il restera sous mon autorité, et suivra obligatoirement mes cours. Est ce bien comprit ? Fit elle en se retournant vers Zéphir qui bredouilla un « oui madame » tout juste audible. - Bien je vous envois Alexius, en 37ème année de métamorphose appliqué avec une thèse sur les fondement de la magie, et son histoire. Quand il a appris votre venu avec ce jeune apprenti, il s'est porté volontaire pour être Oriki. - Je l'attend donc. » Et l'image disparut avec dans une sorte de révérence

Zéphir interloqué resta muet.

La porte s'ouvrit et un homme tout en noir entra dans la pièce, salua Jaya et souffla une salve de flamme assez fine sur Zéphir en rigolant. Celui ci par réflexe se protégea le visage, les 2 bras en avant. Jaya observa la scène tranquillement. Les flammes au contact du jeune enfant disparurent, laissant l'être obscure et la Doyen quelque peut surprit. « Merci Professeur, dit la jeune recru - Je n'ai rien fait, ni même flamme, mon premier apprenti. C'est sa façon de saluer ceux qu'il croit être maître du feu. » A ce moment la quelqu'un frappa à la porte, coupant net la discussion. Jaya demanda à Alexius de faire faire un tour à Zéphir, qu'elle salua d'un signe de tête lorsqu'il sortit , avant de reprendre ses cours pour son autre disciple.

« Alors c'est toi le jeune élève de Dame Baya ? Ben dis donc, t'en as de la chance. Tu sais qu'elle à était 3 fois nommé meilleur maître des flammes, qu'on dis d'elle qu'elle est la fille du soleil ? Le disciple de la directrice. Ben dis donc. - euh, je ne savait pas. Y a beaucoup d'élève ? Demanda Zéphir sans trop quoi dire. On est plus d'une centaine, mais vous êtes que 2 à avoir en plus des cours, les enseignements de Dame Baya. Tu viens d'où ? - d'assez loin. Répondit il un peu perdu. Et toi ? - Mon père est un des seigneurs de scénaria, c'est un grand magicien et il à de peu réussi à me faire intégré cette école y a pas mal de temps. Dis donc, tu dois être doué, ou sacrément riche. Avec un visage comme le tien, si tu souris un peu, tu feras craquer toutes les filles.

Ensemble ils visitèrent ce grand établissement resplendissant. Sur leur passage, de nombreux étudiant chuchoter en les regardants, interloqué,surprit par un age si tardif pour débuter ses études. Ce qui fascina Zéphir fut les portes, qui ornée de rune permettaient l'accès à de nombreuses pièces : si l'on refermer l'une d'elle puis la ré ouvrait donné sur une salle différente. Alexius lui énonça les différentes magies enseigner, et domaine théorique. Il lui expliqua l'objet de ses recherches, et pour lui faire une démonstration de ses pouvoirs se changea en divers animaux, ce qui les fit beaucoup rire. Enfin il lui montra les dortoirs tout en répondant à la question « qu'est ce que Oriki », lui expliquant que c'est un terme dérivé d'une langue ancienne signifiant guide. Il lui proposa à la suite de choisir une chambre : celles ci était presque aussi grandes que l'ensemble de sa maison, où il vivait avec sa famille, ce qui avait le don de l'ébaillir. Il demanda ou Alexius loger, et finalement finit par s'installer à coté. Aussitôt sur la porte apparut Zéphir, Apprenti de Baya Jaya, princesse des flammes. Lorsqu'il fut seule dans la pièce une feuille apparut avec un emploi du temps : celui ci était extrêmement chargé de par les enseignements de son maître et ne laisser que peu de temps pour les autre disciplines. Aussi commença t'il par suivre seulement les cours de la directrice, passant son temps libre avec Alexius et ses 2-3 amis : Marc, Zorb, un être étrange et Heldoan, l'elfe. Cependant ses cours ne se passait pas très bien, car aussi intelligent et doué fut il, il n'arrivait pas à cerner le fonctionnement pratique de la magie sans la théorie au préalable, ce qui en générale était enseigné durant l'enfance. Cet lacune trouva le pourquoi. Sa vu n'était pas assez développé, trop faible pour pouvoir cerner les différente subtilité des mouvements primaire. Aussi, il fut envoyé à la fin du second mois, prendre des cours particulier de théorie de la magie avec Xiandaly, un vieux mage aveugle. Celui ci posséder une immense bibliothèque et lui recommanda d'en lire le plus possible pendant ses temps libre et passa toutes ses soiré à lui expliqué le fonctionnement de la magie. C'était d'un ennui insoutenable, mais il fallait résister et faire des efforts, sans quoi il ne pourrais devenir un bon magicien. Aussi commença t'il à lire des livres. Au bout de quelques temps, après avoir lu ce qui lui semblait dix fois être le même livre, il tomba sur un livre usé, assez fin, sans aucune indication. Il feuilleta quelques pages et se rendit compte qu'il s'agit d'un livre sur la perception de la magie. Peu être un livre unique, n'ayant jamais était publier, le nom de l'auteur n'étant pas écrit. Il commença à le lire, et se rendit compte assez rapidement, qu'il expliquait un sortilège permettant de voir réellement la magie. De plus celui ci n'exiger qu'un minimum de théorie, et juste un peu de concentration, pas de geste superflue. Ainsi il parvient assez rapidement à le maîtriser, parvenant même à lancer le sort sans parler, ni bouger, ces yeux devenant blanc, et lui dévoilant la magie, dans son état naturelle, tel qu'elle était vraiment.

Il parvient grâce à se sort à mieux parler de la magie, et ainsi pouvoir cessé tout ces cours théorique qui l'embêter.

Alors il commença son véritable apprentissage, celui de la magie du feu. Rapidement, surement à cause du fait qu'il détecter la magie à la perfection, son feu devient blanc, et fut baptiser, le feu purificateur, de par sa capacité à dissiper la magie, et à ne brûler que ce qu'il désire. Il ne lui fallu que peut de temps pour acquérir un tel pouvoir, ce qui lui laissa beaucoup de temps pour allez avec ses amis. Ceux ci suivait de nombreux cours, mais le seul qui l'intéressait un peu était celui sur les glyphes, aussi s'inscrit il a celui ci. Alexius lui parler souvent de vieux dialecte qu'il apprenait dans les livres, chose que Zéphir avait du mal à faire. Son talent pour voir la magie, comment elle agissait et réagissait, notamment lorsqu'elle était stimulé par des glyphes, lui permit d'apprendre extraordinairement rapidement, ce qui impressionna un bon nombre d'étudiant et d'étudiante. Après un an et demi seulement, il était déjà apte à devenir mage, et pour cela, eut comme mission d'accompagner et guider un dragonnier.

Ainsi il passa 4 mois à parcourir le monde, devenant de plus en plus ami avec son tuteur.

Durant leur voyage, Zéphir fit la rencontre d'un demi-Dragon, qu'il lui semblait connaître, surement un ami de son oncle d'on il aurai entendu parler. Aussi l'aborda t'il, le surprenant d'abord puis se présenta comme récent diplômé de magie, sous la tutelle pendant 6 mois de son amie présente, et neveux d'Oz. A ce nom, l'être sembla réagir, et leur fit un accueil plus chaleureux.

Après trois soir ensemble, il leur demanda de l'aide pour retrouver un objet ancien qu'il avait égarer, rien de dangereux. Peux être sur le chemin, pourraient ils voir un drakôn. Aussi marchèrent ils ensemble les 2 mois suivant.

Une fois de retour à scénaria, Zéphir devient officiellement mage. Mais le jour même, n'ayant pas le temps de célébrer l'évènement, lui et son amie dragonnier furent demander au palais du gouverneur.

Une mission leur était demander, une mission d'une importance capitale de part les enjeux diplomatique en des temps si trouble. Firma le demi dragon ne semblait pas étranger à tout cela. La mission était d'aller dans le pays des elfes et d'essayer de faire une alliance.

Il accepta, trouvant que c'était une bonne cause, et un moyen de rester avec ses amis. De plus Firma semblait être quelqu'un de très puissant.

Ainsi il laissa les autres s'occuper des préparatifs et se contenta de venir au rendez vous, quelques jours plus tard.

En examinant le matériel mit à leur disposition, et plus particulièrement les clochettes d'invocation d'alizé qu'on leur avait loué, et avait pour effet de l'intrigué plus qu'autre chose, il repéra parmi les vivres deux sources de magie. Aussi s'approcha t-il de celles ci. Ce n'était a première vu qu'un œuf pour la première, mais magiquement, il lisait des tas d'inscription tout autour. Il s'approcha d'une autre source de magie qui l'intrigué, une des clochette, avec une « couleur » différente. Il reconnu un sort de destruction. Il s'empressa alors de s'en emparer et de la jeter le plus loin possible a l'extérieur de la ville ou elle explosa. Tout le monde le regarder bizarrement, intrigué, et heureux de ne pas avoir explosé avec. Il leur tendit l'œuf et leur annonça ce qu'il avait vu. Leur guide, Caos, prit des lunettes et la regarda, il ne comprenait pas non plus. Aussi la fit il remettre à des gardes, pour qu'ils l'enferme et espérer qu'un mage pourrais la désamorcer.

Tout danger écarter, Zéphir, ainsi que firma, la dragonnière, caos et tribert envoyé par licophene en tant que représentant, s'apprêtèrent a partir, quand au milieu de la place, une personne encapuchonné, aussi noir que les ténèbres, autant physiquement que magiquement apparu, entouré d'ombre mouvemente. Parmi elles, des assassins sortir et passèrent d'ombre en ombre, chargeant le groupe. Firma les intercepta, permettant au groupe de décoller tranquillement. L'ombre ne bouger pas, Zéphir la fixé, les yeux blanc, dégouter de tant de noirceur. Voyant sont compagnon dans une mauvaise situation, il recouvra la zone de ses flammes blanche, tuant ainsi tout les assassins, et épargnant tout les innocents. Cependant, a ses flammes se mêlèrent des flamme noir, qui assura leur victoire, mais blessa légèrement Firma. Il reconnu les flammes de … Flammes, son condisciple.

L'ombre voyant les assassins, disparut dans les ténèbres alors qu'une voie lugubre résonna dans la tête de Zéphir « Tout est déjà décidé ».

Chapitre 2 – Le voyage

Après un départ quel que peu bizarre et angoissant, le groupe voyagea a dos d'Alizé, profitant du temps libre qui s'offrait a eux pour vaquer a leur occupation. Zéphir étudia les Alizés, et aida par moment Firma pour la conception de charme protecteur d'esprit. Pendant ce temps, la dragonière discutait avec Caos de la géographie et de la localisation stellaire. On parlais de magie et des choses du mondes Leur voyage fut interrompu alors qu'ils survoler d'immense forêt, par une menace qu'aucun ne pensait affronter. A l'horizon, un Dragon apparut, sa magie perceptible par tout le monde. Ce fut alors la débandade, paniqué, tous cherchèrent à se mettre a couvert et foncèrent vers le sol, se faufilant a plus de 200km/h entre les arbres. Peu habitué à de tel virevolte, Zéphir se fit rapidement distancer, et au détour d'un arbre, en percuta un deuxième et se retrouva projeté en direction d'un 3ème a tout vitesse, alors que l'alizé disparaissait.

  • Mes flammes, elles me protègent ! *

Des flammes blanches l'entourèrent, ralentissant considérablement sa chute, mais pas suffisamment pour éviter l'arbre. Alors que flamme atterrissait a coté de la même manière, en orbe de feu, plus imposante, Zéphir s'écrasa contre l'arbre le cassant sous le coup, enchainant avec un autre et un autre. Tous sont corps n'était que douleur, il n'y avais plus de haut plus de bas, seulement de la douleur, sa vue était trouble. Son corps semblais rouler au sol, alors que sa vu se grisait, jusqu'à ne voir plus que les ténèbres, accompagné main dans la main, par une douleur insupportable dans chacun de ses membres. Il avait toutefois réussi avant de s'écraser, à poser Spip sur une branche.

Quelque chose bouger autour de lui et faisait des son bizarre. Peu à peu ces sons devinrent compréhensible, on lui parlait, on lui demandais comment il allais. Bizarrement, la douleur n'était plus la. Il ouvrit les yeux, la dragonière était penché au dessus de lui, alors que Firma tirer un coffre énorme. « Bien ca va «  répondit il simplement. Il se leva, au milieux d'une clairière artificielle, et surement très récente au vu de la quantité d'arbre au sol devant lui. Spip semblais terrifié. Demandant ce qui s'était passé, on lui expliqua qu'ils s'étaient posé et s'était retrouvé nez à nez avec un Givre, un espèce de Dracon reptilien, très rapide et très dangereux. Le Dragon qui les suivait s'était alors posé aux milieu de la clairière faisant fuir tout les animaux, la givre compris. Après quelques instant, le Dragon à la puissance exceptionnel avait reprit son vol. C'est la qu'ils avaient pu récupérer ce coffre gigantesque. Mais mieux valais ne pas s'attarder en ces lieux, et tous reprirent leur vol. Cependant, après une tel attaque, bon nombre de provisions avait était perdu et il fallait faire un détours pour se réapprovisionner.

Aussi volèrent t-ils 2 jours de plus jusqu'à un petit village. Ils se posèrent à l'entré, et tandis que la Dragonnière et tribert allais chercher des victuailles, Zéphir et Firma enchantèrent le coffre, réduisant son poids de manière exceptionnel, lui donnant un volume raisonnable et le scellèrent, ainsi que l'étrange métaux magique qu'il contenait. Celui ci était noir, jusqu'à sa magie, d'un noir si puissant et imposant que toute lumière si perdait, un peu comme l'un des métaux de la dague de Zéphir.

Alors qu'ils finissaient leur sortilèges, la dragonnière revient affolé, annonçant que l'ombre qu'ils avait vu au début du voyage était revenu. Elle avait aussitôt disparut.

Dans l'instant, tous se hâtèrent de ranger les vivres et partirent sans perdre plus de temps.

Leur voyage durant 2 jours fut bien silencieux, personne n'osait parler, jusqu'à que caos annonce les montagnes, redoutable adversaire où selon les dires, mieux valais ne pas user de sa magie. Le petit groupe commença à gravir celle ci, et atteint le premier pic au soir seulement, après avoir failli mourir un nombre incalculable de fois. Les plantes était de virulents poison, leur simple contacte était mortel. La roche elle même, si taillant pouvait déchirer n'importe quel peau. Des avalanche leur tomber fréquemment dessus.

Ainsi cette première nuit sur la terre ferme, malgré les tours de garde, fut bien venu.

Lorsqu'Oz fut réveillé, tout le groupe était en alerte. Quelque chose de bizarre se passait, et d'inquiétant. Il était bientôt midi d'après le soleil, et personne ne l'avait réveiller pour son tour de garde. Quelqu'un manqué dans le groupe : la dragonnière !

Ils partirent à sa recherche le plus rapidement possible, et au bout de 20 minutes la trouvèrent allongé à moitié morte sur le flanc de la montagne, baignant dans son propre sang. Son bébé dragon était collé à elle.

Firma se jeta sur elle et incanta, oubliant tout avertissement sur la magie en ces lieux. Zéphir par réflexe, utilisa ses yeux du mage pour voir la magie. La magie de Firma pénétré dans le corps de son amie, réparant tout les tissus, les reconstituant pour la plupart, seulement, alors que les soin se continuait, 2 magies se mêlèrent aux sorts, s'imprégnant dans tout le corps de la dragonnière et remonta jusqu'à Firma. Les soins finit, firma pour se défèrent de cette magie la laissa s'échapper sur un rocher a proximité et tomba inconscient. Lorsque le rocher explosa, une volet de vague de magie pigmenter d'éclat de roche fut projeté sur Zéphir qui par réflexes s'entoura de flamme purificatrice, détruisant instantanément tout les fragment. Seulement la magie, au lieux d'être détruite se mêla à celle de ses flammes. Il se pencha, traça une glyphe au sol et y enferma la magie de ses flammes et avec celle ci, les 3 autres magies. De nombreux fragment avait perforer le corps de Firma, et la dragonnière, bien que soigner, restait inconsciente, rayonnante d'une magie bien étrange et puissante.

Avec l'aide de Caos, de Tribert et de Flamme, ils construisirent des brancard pour transporter les blesser, puis continuèrent leur route tant bien que mal.

Le lendemain, Zéphir fut réveiller par un rocher volant qui le heurta. Il le reconnu c'était celui sur lequel il avait tracé la rune. Celui ci flottait à un peu plus d'un mètre du sol. Il l'accrocha à une corde et la relia a sa ceinture, trainant ainsi le rocher, pour le plus grand plaisir de Spip.

Ils continuèrent encore quelques jours, ils avançaient bien. Leur groupe réduit perdait le moral, seul Zéphir, grinçant des dents, avancer sans râler, poussant les autres à en faire de même. Cependant, alors qu'ils n'était plus qu'à 3 jours de l'Anoa, la foret des elfes ou ils devaient se rendre, Caos annonça qu'il fallait faire quelque chose pour firma la nuit même sans quoi il ne passerai pas la nuit.

La vue de Caos n'était pas très bonne, les mains de tribert tremblais, flamme sautillait, aussi, Zéphir du se faire médecin et suivant les conseils de leur guide qui lui avait prêter d'étrange instrument, retira les fragments de pierre, seulement, l'un d'eux semblais s'enfoncer toujours un peu plus loin au fur et a mesure qu'il se rapprocher. Aussi du t'il s'arrêter lorsque le fragment fut trop proche du cœur. Ils passèrent le reste de la nuit a panser ses plaies. Cela stabilisa quelque peu Firma. Aussi marchèrent t-ils le lendemain, et le surlendemain sans faire de halte, ni même dormir, pour arriver au plus vite chez les elfes.

Lorsqu'ils furent à l'orée de la foret, ils était à bout de force. De plus la foret était si épaisse qu'on n'y voyait pas à 2m. Les arbres était si grand qu'on ne voyait pas leur cime. L'aura de la foret, si imposante intimida le groupe abattu. « Il faut avancer, sinon Firma va mourir. On ne peut s'arrêter maintenant qu'on est si prés du but. » Sur ces mots, il leva une partie du brancard. Ces quelques paroles avait insufflé aux groupes une énergie nouvelle, aussi ils se remirent en route.

Dans cette foret, il était impossible de savoir ou ils allaient, et caos peiner a les guider. Chaque pas pouvait être le dernier pour peu qu'un elfe le veuille. Ils avançaient ne pensant à rien d'autre, essayant d'oublier leur fatigue.

En fin de d'après midi, ils découvrirent une clairière, dans laquelle ils s'engagèrent, heureux de voir un peu plus loin pour une fois. Lorsque ils posèrent les brancard pour souffler et relevèrent la tête, ils découvrirent des dolmens en plein milieux, recouvert d'écriture indéchiffrable et si élégante.

Zéphir, tel un zombie, se laissa guider par ses pieds, et sans s'en rendre compte se retrouva au milieux des ses pierres géantes, à coté d'une stèle. A bout de force, ses jambes lui firent faux bond, et il s'écroula, sentant peser un poids énorme sur ses épaules, comme si la foret le regarder. Sa chute lui parut une éternité, et fini, après s'être cogner contre la pierre, face contre terre.

En se relevant péniblement, il sentait une colère venir de la foret, et découvrit qu'il venait de briser la stèle. En celle ci, Zéphir admira une elfe enfermé la, tel endormi dans un cercueil. Celle ci le regarder. Il lui semblait la connaître, mais il ne savait d'ou.

Elle se leva lentement, le toisa et regarda derrière lui, puis parla dans un bruissement mélodieux, tel porté par le vent.

Zéphir se retourna et découvrit à qui elle s'adresser. Un groupe d'elfe armé de lance était rentrait dans la clairière, et s'avancait vers le groupe, prescédant un homme sur un cerf magnifique.

« Ils nous demande de partir. Il me semble qu'on vient de réveiller un être qui pour eux est si je ne me trompe comme un Dieux - Traduit moi, réplica Zéphir, qui enchaina aussitôt changeant d'interloccuteur en exquissant une révérance. Nous ne voulions vous déranger. Comme vous le voyez nos amis sont mourant. Aidez nous. » Lorque caos finit de traduire, l'elfe réflechi et parla. Caos lui annonca qu'il accepter, mais que s'ils remettaient les pieds sur leur territoire, ils les tuerais tous. Aussi devait-ils attendre à l'orée de la foret, Tous. Cela comprenait l'elfe qu'ils avaient Réveiller.

Ils s'exécutèrent sans parler, suivit de l'elfe, à qui avait était offert une étrange ceinture.

Une fois arrivé, ils s'écroulèrent, mangèrent rapidement en échangeant 2-3 mots avec l'elfe, dénommé Misaka.

Se sommeil fut très bien venu.

Le lendemain fut une journée de repos supplémentaire. Zéphir ne savait pas pourquoi, ni d'ou, mais il était persuader de connaître cet elfe, c'était pour lui comme une ancienne amie, sauf qu'il ne la connaissait pas.

Au milieux de la journée, Une illusions se forma devant eux et leur annonca que firma allais bien, et avait récupérer.

Misaka leur apprit que les elfes était diviser en 7 tribus et que celles qu'ils avait vu à l'arrivé n'était autre que les feuilles d'argents, une tribues guerrière. Cependant le territoire appartenait à une autre tribue, surement celle qui soignait leur amis. Une tribue pacifiste.

Chapitre 3 : Les elfes

Alors qu'ils s'appréter a rentrer a nouveau dans la foret, un elfe vient les chercher, puis les guida dans la foret, jusqu'à la cité, à savoir d'immense arbre ou rien que le première étage était à plus de 400m de haut. L'elfe les pria de bien vouloir monter. Ce qui ne semblais pas un problème pour les elfes, l'était pour le groupe. La monter. Alors qu'ils ne trouvais toujours pas de solution, Firma se posa en délicatesse prés d'eux.

Alors qu'il s'apprétait a parler, l'elfe, cria folle de rage, et de sa main partie un éclaire sur Firma. Celui ci esquiva de justesse, se rendit invisible et s'enfuit. L'elfe le pourchassa pendant un certain temps, créant une surprise dans toute la fôret.

Quand a Zéphir, celui ci s'entoura de flamme et s'envola lentement, essayant de voler pour la première fois. Au début sa maîtrise était hazardeux, mais rapidement, il prit de l'assurance et s'envola jusqu'au premier étage. Flamme en fit de même alors que caos soutint tribert et s'envola doucement, tenant dans sa main un petit objet, comme une aiguille.

Les premiers arrivait purent rendre une visite à leur amie dragonnière toujours insciente.

Lorsque Misaka se calma, elle se propulsa comme un boulet de canon au travers des cimes et retomba doucement au premier étage. Firma était redevenu visible, et les esprit s'était calmé.

Un des elfes annonca que la parfaite désirer leur parler. Elle devait être une sorte de reine.

Ainsi le petit groupe regagna chacun à sa facon le palais elfique, à la cimes des arbres gigantesque.

Les arbres magnifiques dont les racine former et apporter ce que l'on désirs formait ici une imposante porte à la fois harmonieuse et somptueuse.

Ils marchèrent dans une pièce immense et ou seul au fond de la salle troner une elfe ravissante, entourer surement de ce qui devait être ses conseillers.

« Je vous souhaite la bienvenu, etranger. Puis je savoir la raison de votre venu. Dis elle en ancos, le langage commun à tous d'une voie comme porter par les vents. - En ses temps troubles nous sommes venu vous proposer une alliance répondit firma abruptement mais respectueusement. - Nous autre n'avons besoin d'alliance, d'autant plus que surement aucun des clans ne s'unira, surtout avec des humains. Répliqua t'elle, alors que Misaka traduisait leur échange. - Les orbes du Miari sont réapparut, certain sont entre les mains des elder Dragon. » La parfaite parut tressaillir, a insin que quelques uns de ces conseillers. « Comment ca Les Orbes ? Il n'en existe qu'une et elle est en sécurité. Qui êtes vous pour parler de tel chose ? - Je ne vous dis que ce que j'ai vu de mes propres yeux votre majesté. » Elle se leva, tendit la main devant elle et du sol, lentement, sortit un sceptre. Lorsqu'il fut dans sa main, elle le pointa sur Firma, qui ne broncha pas. Une vague de magie sortie de la tête de firma et vain former un écran devant l'elfe dans lequelle défiler un flot continue d'image. Elle laissa le sceptre disparaître et souffla un « suivez moi » avant de se retourner et partir à toute vitesse. Tous s'exécutèrent et durent se mettre à courir pour ne pas la perdre de vue. Une fois arriver au bord de l'arbre elle sauta, ce que firent tout les membres du groupes, pas necessairement sur d'eux. Lorsqu'ils furent à une 100aine de metre du sol, des feuilles géante se glissèrent sous les pieds de chacun et s'envolèrent à la suite de la parfaite.

Ils sortirent de la ville et continuèrent leur route un bon moment, jusqu'à arriver dans une petite clairière dans laquelle troner une pyramide très ancienne. La parfaite entra, suivit du groupe. L'interieur du monument était recouvert de symbole tous aussi incompréhensible les uns que les autres. Chaque couloir était le même que le premier, si bien qu'ils furent vite perdu, et nurent d'autre choix que de ce laisser guider par l'elfe. En ces lieux, la magie était absente et ne pouvait être utiliser. Cela était surement dû au inscription sur les murs. D'ailleurs ces dernières semblait l'oeuvre d'un fou, et ce communiquait aux visiteur, qui en ces lieux, ce sentait mal à l'aise.

Firma et Misaka semblais redouter un tel lieux, comme s'ils savait ce que c'était, et bizarement, ce lieux était familier à Zéphir, qui trouvait cela de plus en plus étrange. Un noeud s'était formé dans son estomac, il se sentait oppressé.

Lorsqu'ils débouchèrent dans une immense pièce vide, ou n'y avait qu'un pied d'estale recouvert de poussière, tous se stoppèrent derrière la parfaite qui s'était figé d'effroi.

« L'orbe à disparut » annonca dans d'un calme si froid, à en glacer le sang.

Lorsque la parfaite se reprit, elle guida le groupe à l'exterieur, leur annoncant qu'elle les croyait, et ferais quérir le conseille des clans. Elle regagna le palais et envoya des invitations aux chefs des différents clans.

Chapitre 4 : Une sombre menace

Chapitre 5 : Une alliance bienvenu

duel avec le capitaine des feuille d'argent – firma

duel d'un homme d'argent (ne pas perdre un valeureux guerrier, caos, zéphir dragonnière et misaka

réunion plusieur jours attaque gargouille avec un feuille d'argent j'aide le feuille d'argent combat misaka et feuille d'argent reprise du conseille, on fais l'alliance on fait les demande d'artéfact contre le minerai on signe avec l'arbre.


Attaque des dracon bleu intervention dragon vert plusieur attaque re conseille pour le réveille des dragons ou il est voter que oui mais avant, le dernier duel (caos).

rencontre avec l elder (tache sombre de la foret) - combat contre des dracon misaka quasi morte.

recuperation du miari dans la grotte entre 2 montagne, face a une armée

Chapitre 6 – Un nouveau départ

Du sable. Du sable s'étend à perte de vue. Je me sens flotter au dessus de cette immensité terrifiante. Un sombre pressentiment m'envahi. Les dunes défilent sous mes yeux, au loin j'apercoit une montagne sombre. Un pincement étrangle mon coeur. Je m'avance innexorablement vers ce funeste présages. Puis tout s'accélèrent, les montagnes se rapproche a vue d'oeil. Il y a quelque chose d'important la bas, j'y arrive, je le sens. Je tend le bras, je vais l'attraper, c'est … c'est … Tout est noir, j'ai froid, mon coeur bas à toute vitesse. Mon corps est recouvert de sueur froide, je tremble, mes dents claque. J'ai peur, ne cerrai ce que d'ouvrir les yeux et de voir ce qu'il y a, mais ca m'attire. C'est important. Je le sens. Toute mes cellules, en frissonnent : C'est liée à moi, je dois savoir ce que c'est. Je dois ouvrir les yeux, il faut que je les ouvre. Les ouvrir … il faut que je les ouvre …

Je suis tout d'abord aveuglé par un rayon de soleil. Par réflexe je me cache la vue, avec ce bras étrange recouvert d'écaille. Qu'est ce donc ? Je ne sais pas. C'est de la magie Draconnique, mais pourquoi, comment ? Je redevient quelque peut lucide, malgrés ces interrogations inlacables, et cet étrange et mauvais pressentiment. Je suis à scénaria, dans le palais du gouverneur. Est … c'est aujourd'hui que je doit rencontrer ceux qui ont répondu à mon appel.

Je me lève, et tout en m'habillant, je regarde la lettre que j'ai recu la veille. « D'aprés votre demande, trois personnes ont répondu à votre demande. Il s'agit d'Arénas le Léonain. C'est un élémentaliste invocateur renommé. On dis de lui le plus grand bien. Il y a ensuite Eydelen, de l'Anoa. C'est une archère d'exception du clan des feuilles d'acier. Elle fait partie des premières venues aprés le début des échanges. Enfin, à répondu à l'offre Dantes, un grand guerrier de démon, qu'on dit excellent chasseur de Démon. Personnes d'autre n'as accepter de vous accompagner à l'oeil du chaos. ... »

Bien, j'espère qu'ils feront l'affaire.

Je me lève, et sort, m'entourant de flammes blanches quelques secondes pour nettoyer mes habits.

Direction l'auberge.

Je rentre et vais à la table réserver. Ils sont déjà là. Un bon point pour eux, la ponctualité.

Aprés un salut en elfique à la demoiselle, je salut les 2 autres présents. Rapidement je me présente et les présentes entre eux. Je leur dis l'essentiel de la mission : m'accompagner à l'oeil du chaos. On convient d'un salaire pour chacun. L'elfe demande dix pourcent d'avance. Etrange, mais j'accepte. « Il est bien des richesses qui ne s'achètent pas » est ma réponses aprés avoir consentit.

Aprés un petit repas, je leur donne une des pierres de communication et un rendez vous le lendemain matin à la porte est de la ville.

Sur ce, je les salut, et me sépare du petit groupe.

Une partie de la journée, je joue avec Spip, qui étrangement, ou pas, à depuis peu développé un pouvoir particulier : la lévitation. Il est capable de faire s'envoler de nombreuses choses.

Je sens que mon destin avance. Je vais la ou il faut que je sois. Le nuit suivante, je fait le même rêve, le même que depuis plus de 2 semaines. Chaque nuit inlassablement, tel un cauchemar récurant.

A l'aube, je les attends devant la ville. Graçe à Licophène, de nombreux appareil de mesure et d'orientation mon était offert. Je l'en remerci énormément.

Lorsqu'ils arrivent, aprés les avoirs saluer, de ma bouche sorts une question : « Avez vous peur de mourir ? » Le chasseur et le mage réponde par la négative. L'elfe par la positive. Je ne rajoute rien.

Je secoue ma clochette, et dans l'instant se forme mon Alizé. J'installe les provisions, ainsi que l'archère et l'invocateur. Le guerrier à un véhicule étrange, mais apparement assez rapide.

Aussi onprend la route.

Au cour des 2 première semaines, un problème subvient, il s'agit d'une tension entre les 2 personnes qui monte avec moi. Ils ne font que se mettre des batons dans les roues. Je reste calme, mais au bout du compte, une simple élévation de voie, à plus de 500m de haut, à plus de 100km suffit à les calmer. Les provisions diminue rapidement, trop rapidement. Aussi, on doit se diviser en 2 groupes, pour que je puisse avec l'alizé rejoindre le prochain village et ramener des vivres aux autres, sans quoi, on aura pas assez pour y arrivé tous ensemble à cette vitesse. Sur ce, l'elfe qui forme mon binome abat 2 Elan d'une même flèche, faisant de bonne provisions pour l'autre groupe, le temps qu'on se réapprovisionne.

Aprés quelques heure de vol, je recalcule notre position exacte, seulement, à mon grand effroi, on n'est pas là ou je pensais être. On est beaucoup plus à l'est, ce qui est une bonne chance pour le temps de trajet, mais en contre partie, il n'y a aucun villages à moin d'une semaine de vol. Et les provisions nous manques.

Je préviens l'autre binome avec la flèche de communication, et sur ce, ils reprènent la route. J'accélère, soudain l'elfe brandit son arc alors qu'on s'approche d'un troupeau. Elle tire et 6 élan son transpercé, semant le chaos parmis les bêtes qui se bouscule. Un bon nombre tombe du ravin, les quelques survivant la Zones, c'est un charnier. J'attrape l'une des cibles au vol et indique au reste du groupe la position de ces animaux.

On continue a voler.

Les autres se sont arrêter prés d'une rivière, ils ont traiter 3 élans. Nous avons le notre. Ca en fais 4, on n'as pas besoin de plus pour continuer a avancer, surtout avec les talents de l'elfe. Sur ce, je fais demi tour et retourne vers le campement de nos compagnons. On n'a pas besoin d'allez vers l'est, on peux continuer vers le sud.

La nuit passe, les tours de ronde du chasseur nefont que s'accroitre, comme s'il chercher quelque chose.

Au matin, l'elfe à la bétise de prendre une noisette à Spip qui à l'aide de ses nouveaux pouvoirs la récupère. Elle essai encore et encore, jusqu'à ce que Spip s'énerve et la face s'envoler. A l'aide d'une corde elle reste seulement a quelques mètres du sol.

Elle commence à s'énerver, et lorsque je lui demande de s'excuser devant spip, et de lui dire simplement de lui dire qu'elle ne le refera pas, Elle refuse et s'enrage. Quelques seconde plus tard, elle s'arme de son arc à une vitesse fulgurante le bande et tir. Par réflexe, je me retourne pour protéger Spip, et ensuite m'entoure de flamme. La flèche à traverser le rocher, la coupelle dont les noisettes sont tomber, ainsi qu'un arbre perforer, et s'est planter dans le sol.

Lorsque je me retourne elle n'est plus la. Spip regarde plus haut. Je suis son regard, et la découvre flottante à 200m du sol. Je lui demande de la laisser redescendre. Il s'execute sournoisement, mettant fin à son sort. Sur ce je bondit, propulser par mes flammes et l'intercepte à 100m du sol. Je nous entour de flamme. Avant de redescendre, je lui dit : « Ne refais plus jamais ca. Ne touche jamais à Spip, ou je te tuerai » Je ne sais pas ce qu'elle lut dans mon regard, mais ne broncha pas, ce contentant juste de foudroyer Spip du regard. Mes flammes autour de son arc, se font plus brûlante, pour qu'elle ne puisse sans servir. En redescendant, je continue à la sermonner.

Peux aprés elle parle à spip en elfique, celui ci bouge juste ses mains, et l'elfe sourrit. Voilà qu'elle prend Spip pour une divinité. Mieux vaut ca que le contraire.

Personne ne s'en prend à Spip, jamais.

Aprés de tel événement, le chasseur semble retenir un bon nombre de personne, d'indigène on dirais. Dabord apeuré par un éventuelle Démon, ils nous font signe de les suivre dans leur village.

Lorsqu'on arrive au lieu dit, j'aperçoi un échange de regard entre une jeune femme et Dantes. Leur magie semble vaciller tout à coup, durant un instant.

Ils nous invite à partager leur tradition, nous offrant à boire et à manger, nous ravitaillant quelque peu, en nous demandant en contre partie de leur raconter des histoires. Je me tait. Personne ne me demande quoi que ce soit. Tant mieux.

Au milieu de la soiré, Dantes disparaît. Quand à moi je continue de recopier mes glyphes et prend notes du voyage.

Au matin, des cris me réveilles, je sort en trombe, emportant toutes les provisions avec moi. Devant moi des Gens poursuive Dantes qui s'enfuit, on me pousse hors du village. Ne sachant pas ce qu'il advient de mes compagnons, j'entoure le village de flammes, et rentre à nouveau pour chercher nos 2 autres compagnons. L'elfe tient son arc en main, l'invocateur à l'air énerver. De plus la femme est désormer avec l'elfe.

On sort du village, et attend Dantes. Quand il revient, l'elfe monte avec lui, Arenas n'en pouvant plus. Sa conquète monte sur l'alizé.

Et on continue notre voyage. Cependant la jeune femme semble jalouse, alors on l'intervertie avec l'elfe. On vole encore de nombreux jours, chassant pour se restaurer.

Aprés un trajet qui nous semblais à tous interminable, on parvient au désert. C'est la que les glyphe préparer furent utiles. Afin de se protéger de la chaleur et du sable.

On fait une alte à une oasis, ce qui l'occasion pour tous de prendre un bain.

On continue notre route, d'aprés notre itinéraire, il nous faudras surement passer sous la montagne.

Au bout d'un moment, une tempète se lève, on doit se poser. L'invocateur créer aec le sable un dôme de verre autour de nous. La tempète passe, c'est à la limite du supportable. La nuit est longue. Très.

Le sable défile sous mes pieds. J'ai un noeud à l'estomac, j'ai un mauvais pressentiment. Je m'approche des montagne, mais je suis comme appé par celle ci, je n'arrive pas à passer de l'autre coté. Tout est noir. Il fait chaud. Mon corps tremble. J'ouvre les yeux, je suis toujours dans le dôme de verre. On est tous réveiller par une chaleur infernal gardé elle aussi prisonnière du toit de verre. C'était encore ce rêve, mais il se fait plus sombre, et de plus en plus mauvaise augure. Il faut que j'en ai le coeur net, que j'aille jusqu'au bout. Mon destin m'attend dans ce desert.

On en sort et on reprend notre vol jusqu'aux montagne.

Au fur et à mesure que l'on avance, ce noeud ce forme à nouveau, autour de moi, je sens comme une présence maléfique. Je regarde de toute part. Derrière, des vent de poussières très violent semble nous suivre, comme si la tempète elle même nous poursuivait. Mais ce n'est pas celle d'hier, elle est plus maléfique, comme abriter d'une force obscure. Je la sens, je la voie sans vraiment la distingué. L'elfe a suivit mon regard, et semble s'être figé à son tour. « Que vois tu ? Qu'est ce que c'est ? - Je sais pas … Mais je préfèrerai affronter les esprits de la forer que cette force... répond l'elfe dans un souffle. - Le démon des sable … celui qui punit l'ennemi des Tharcis … » murmure Arenas mystérieusement. Sans savoir pourquoi, j'ai l'impression funeste que ces mots s'adresse à moi.

On continue notre route en accélérant. Il nous rattrape. Encore et encore. Il reste alors un moment à une distance raisonnable.

Les montagnes sont en vue, on accélèrent, lui aussi, comme décider à ne pas nous laisser nous échapper.

On cherche l'entré des mines, ce que localise rapidement l'elfe, on fonce. Alors qu'on pose pied à terre devant la gigantesque porte naine, la tempète est sur nous. Je créer un mur de flamme de toute mes forces pour le repousser. Je sens comme si des griffes essayer de déchirer mes flammes. Ce n'est que le sable, mais c'est si maléfique que ca n'a presque aucun sens. Arena tend son bras du quel jailli un très de foudre qui fais s'effondrer l'entré de la caverne. Et s'effondre à la suite, épuisé. Au moins on est séparer de notre prédateur.

Je me retourne vers la porte. D'aprés Dantes il faut suivre une certaine ligne sur la porte en faisant passer sa magie. Il n'a pas réussi.

Je m'approche et de ma main gauche fais glisser ma magie dans la rainure. Rien ne bouge. Je réitère l'opération, de ma main droite, de cette main étrange et puissante. Cette fois ci toute les runes s'illumine et la porte s'ouvre.

On s'avance dans les couloirs que ma magie illumine.

Sur les conseils d'orientation de l'elfe, on avance dans les couloirs, péniblement, descandant des marches pendant ce qui nous semble être des journées entière. Hormis mon sablier, qu'on ne peut regarder en permanence, on n'as pas la moindre notion du temps.

On continue d'avancer inlassablement. On est tous à bout de force. Chaque mur, chaque marche est recouvert de runes qui raconte un histoire. Magnifique et angoissant, de ne pas voir la fin des ténèbre. Un jours, l'elfe annonce qu'elle à entendu des nains. Enfin une bonne nouvelles, car nos vivres devenait casi inexistante, et on devait économiser sur tout.

C'est ainsi que mort de faim, épuisé, nous arrivâmes devant une autre porte gigantesque et richement ouvragé. De l'autre coté, les nains, tous les entendais sans comprendre ne serai ce qu'un mots.

L'invocateur veut essayer d'ouvrir la porte, mais n'y parvient. Sa magie est comme la mienne, pas assez puissante. Alors j'utilise mon bras droit, et l'ouvre sans difficulté. Quel différence de magie.

Une gigantesque caverne, remplit de nain, il y en a de partout, en haut en bas. 3 gardes nous on repérer, ainsi qu'un bon nombre de personne.

Celui qui semble être leur chef nous demande en Encosse de le suivre. Il nous dis de rester en cellule le temps de savoir quel sera notre sort. On lui demande à manger, lui expliquant que nos vivres se sont épuisés il y a peu.

Aussi ils nous enferme dans 3 cellules différente, l'invocateur et sa manticore, Dantes et sa femme, l'elfe et moi. Je continue mes glyphes.

On nous apporte à manger en abondance.

Ainsi nous nous restaurons, puis peu à peu, tous sombre dans le sommeil.

Le sable, la montagne, les runes, tout tournes. Tout ne forme qu'un tout, un seul mauvais présage. Je me sens comme appés vers les ténèbres, comme si les runes me détruisaient.

Je me réveille en sueur, paniqué. Mon visage est livide, l'elfe me regarde surprise et un peu apeurer.

« Tout va bien »

Chapitre 7 : Les nains

Le Nain de la veuille nous menas au travers des tunnels sans fond, s'éloignant du centre de vie, vers une gigantesque grotte, ou une passerelle, toujours recouverte de rune, assez fine, entourée du vide. Au bout de ce chemin magnifique et dangereux, une gigantesque porte était ouverte.

On nous invita a entrer, et on découvrit au milieux de la pièce, un nain assis sur un trône, qui nous fut présenter comme le seigneur des lieux.

Je ne m'attendait pas à être présenter directement à un seigneur nain, et aussitôt une idée prix place devant mon désir de rejoindre l'œil du chaos. Inciter les Nains à se joindre à nous comme l'on fait les nains.

Le nains parla d'abord en Ankosse sans aucun accent. Il nous demanda la raison de notre venu, que l'on parvint comme possible à formuler, un mélange entre rejoindre l'œil du chaos et faire une alliance sans vraiment rien développer.

Aussi rapidement, le nain s'offusqua qu'on ne respecte pas les coutumes, et nous ordonna de les apprendre. Avec sarcasme il nous congédia.

On nous mena alors vers des habitations somptueuse, apparemment qui servait autre fois à accueillir les négociateurs. Cependant la pièce était recouverte d'un tas de poussières plus qu'impressionnant, qui témoignait d'une absence de vie en ces lieux depuis plus d'un siècle.

Je prit un balais et commençai à balayer, lorsque Arenas utilisa de sa magie du vent pour tout nettoyer, mais n'eut l'effet que d'une petite brise ridicule. Aussi cela me sembla une bonne idée, je tentais d'abord ma magie, en vain, puis un mélange de mes 2 magies. Cependant l'effet estompé n'était pas vraiment réussi. Une flamme avec une lumière aveuglante, presque douloureuse naquit dans ma main. Lorsque j'essayai de la dissiper, rien n'y fit, et la douleur devenait de plus en plus insoutenable. Aussi je prit l'un de mes parchemin et l'apposa contre mon bras. La magie passa dans mon bras lentement, semblant déchirer chaque centimètre de ma peau. Cette douleur était insupportable, mon corps trembler, j'étais tombé à genoux, et maintenais ma main comme je pouvais. Aussi j'apposais un second parchemin de contrôle sur moi même et ainsi pu rester figé, comme tétanisé, crispé de tant douleur. Ma tête, tout mon corps n'était que douleur, une douleur insoutenable. Je serrai les dents comme jamais. J'avais l'impression d'exploser. Rien d'autre n'avais d'importance, rien d'autre n'exister autour de moi, sinon ce mal qui rongeait mon corps de part en part, s'attaquant à chaque particule de mon être. Autour de moi, il n'y avait que douleur, je n'avais plus conscience de ce qui m'entourait, sauf peut être cette chose qui fit une pression supplémentaire sur mon avant bras.

Soudain, la lumière disparut, le parchemin tomba laissant d'échapper une fumer bleuté. Ma vue était flou.

Comme un automate je ramassais le parchemin, le mit dans une bourse anti-magie. Me lever, me tenant à peine.

A bout de force, ma peau me tirant, me lacérant, je finit par m'allonger sur un lit couvert de poussière. Tout tourner, des bruits étrange m'entourer, tout aussi trouble et flou que ma vu.

Je me réveille le lendemain, mon bras est endolorie. Je laisse ma magie me opérer et me soigner.

Nos instructeurs nains nous attendent.

Chapitre 8 : La cité de Mahal

mort de l’erudit face a la tempete de sable

cité de mahal trouve une nouvelle personne découverte de la cité, desbains et de la grande bibliothèque

Chapitre 9 : L’oeil du chaos

rencontre d un clan tharcis, faire ami-ami

combat avec l armure, redescent dans la caverne

retrouve la memoire et combat contre soi mm

combat contre dantes

retour a sénaria

Chapitre 10 : La grande réunion

Chapitre 11 : Le mariage

References