« Mythes et Légendes de Lyin » : différence entre les versions

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= Mythes des Dieux =
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== Mælyre la Conteuse ==
== Mælyre la Conteuse ==
Les contes qui narrent les bienfaits de Mælyre sont sans conteste les plus nombreux dans les villes Narylins ; mais aussi dans Lyin. Et malgré qu'il existe beaucoup de versions de ces comtes, différent sur nombre détails, une trame essentielle peut facilement en être extraite ; et la voici à peu près :
Les contes qui narrent les bienfaits de [[Mælyre]] sont sans conteste les plus nombreux dans les villes Narylins ; mais aussi dans tout [[Lyin]]. Et malgré le fait qu'il existe beaucoup de versions de ces contes, différents sur nombre détails, une trame essentielle peut facilement en être extraite ; et la voici à peu près :


Mælyre, Déesse de la Sagesse et de la Connaissance, lasse de l'ignorance dans laquelle les résidents de l'Ætharium maintenaient les mortels, décida de leur apparaître en personne. C'était la première fois qu'une divinité apparaissait aux mortels, et tous ceux qui purent la voir en gardèrent un souvenir impérissable jusqu'à la fin de leur vie. Et si tous s'accordaient à la décrire d'une beauté sans pareil, nul n'en donnait la même description, comme si elle était apparue différente pour chacun d'entre eux.
Mælyre, Déesse de la Sagesse et de la Connaissance, lasse de l'ignorance dans laquelle les résidents de l'Ætharium maintenaient les mortels, décida de leur apparaître en personne. C'était la première fois qu'une divinité apparaissait aux mortels, et tous ceux qui purent la voir en gardèrent un souvenir impérissable jusqu'à la fin de leur vie. Et si tous s'accordaient à la décrire d'une beauté sans pareil, nul n'en donnait la même description, comme si elle était apparue différente pour chacun d'entre eux.
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La déesse enseigna alors aux Hommes les origines du monde, des Dieux, des mortels et des créatures vivantes. Elle leur apprit encore la magie, le jugement et la sagesse, puis elle se rendit aux autres races leur dispenser les mêmes bienfaits ; chargeant ses élèves de répandre sa parole au sein d'Alcea<ref>Il est à noter que chaque race se considère comme la première a avoir reçu la Vérité de la Déesse ; et toutes selon le même modus operendi. Il convient donc d'adapter ce paragraphe aux diverses autres races le cas échéant.</ref>. Il est dit que ces élèves, qui entendirent la Vérité de la bouche même de la déesse devinrent immortels, portant à jamais en eux le souvenir de la Beauté et la Sagesse infinies de Mælyre la Conteuse.
La déesse enseigna alors aux Hommes les origines du monde, des Dieux, des mortels et des créatures vivantes. Elle leur apprit encore la magie, le jugement et la sagesse, puis elle se rendit aux autres races leur dispenser les mêmes bienfaits ; chargeant ses élèves de répandre sa parole au sein d'Alcea<ref>Il est à noter que chaque race se considère comme la première a avoir reçu la Vérité de la Déesse ; et toutes selon le même modus operendi. Il convient donc d'adapter ce paragraphe aux diverses autres races le cas échéant.</ref>. Il est dit que ces élèves, qui entendirent la Vérité de la bouche même de la déesse devinrent immortels, portant à jamais en eux le souvenir de la Beauté et la Sagesse infinies de Mælyre la Conteuse.

== La naissance du Fragment Démoniaque ==
Il est dit dans bien des contes que le Fragment Démoniaque n'a pas toujours existé, mais qu'en réalité, Lyeth, dieu de la Folie, l'aurait créé de lui-même afin de pouvoir y exhumer les plus terrible créatures qu'il ait inventées. D'après la légende, Swyn, sœur cadette de Lyeth, et le Dieu-Cauchemard lui-même inquiétèrent au sein de l'Ætharium pour que la création de l'aîné reste inconnue des Dieux. Cependant, lorsque ceux-ci l'apprirent, tous se retournèrent contre Lyeth et sa sœur et voulurent les chasser du panthéon. La légende dit ensuite que Mælyre intercéda en leur faveur auprès de Nymelia elle-même pour leur éviter d'être bannis de l'Ætharium. La Déesse Tisserande se rendit aux arguments de Mælyre, qui arguait que les bannir ne ferait qu'empirer les choses, et intercéda elle-même auprès de Væ pour qu'il ajourne son verdict. Les légendes disent qu'alors, un nouveau jugement eut lieu, et que Swyn et Lyeth point ne furent bannis de l'Ætharium. Nul ne sait en revanche pourquoi les Dieux n'ont défait la création de Lyeth, ni la punition que les deux Dieux reçurent.


= Légendes des Hommes =
= Légendes des Hommes =
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Il n'y eut jamais de Second Âge Démoniaque.
Il n'y eut jamais de Second Âge Démoniaque.


== La Mer Rhamylda ==
La Mer Rhamylda, lac gigantesque qui sépare à l'est Alcea des Grandes Plaines d'Elyssea, tire son nom d'une légende bien connue des Alcéens. À l'origine, cette étendue d'eau ne portait pas de nom, jusqu'à ce que les Narilyns ne la découvrent lorsqu'ils s'éloignèrent des côtes occidentales. Ils baptisèrent naturellement ce lac Mer (pensant, en le voyant, que ce lac gigantesque ne pouvait être qu'une mer) Nylnarilyn (Nyl- étant le suffixe désignant les mers dans leur dialecte). Plusieurs décennies passèrent, et c'est bien plus tard, alors que Sylnarilyn s'était déjà imposée comme l'une des villes les plus importantes d'Alcea, que la légende prend place. On dit que le souverain d'alors, dont le nom a été perdu depuis, fut forcé par les dieux eux-mêmes de noyer sa compagne, Rhamylda, dans la mer Nylnarilyn pour leur prouver son dévouement et conserver leurs grâces. La légende raconte qu'il aurait fini par accepter la volonté des dieux après que Rhamylda elle-même, inquiète de la fatigue et la folie qui s'accumulait chez lui à force d'insomnies passées à haïr un peu plus les dieux, n'insiste auprès de lui qu'il ne cède à leurs exigences. Après avoir noyé sa compagne dans la Mer qui fut ensuite nommée Mer Rhamylda, ce souverain serait mort de fatigue et de chagrin mêlés.



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[[Catégorie: Mythes ]]
[[Catégorie: Mythes de Lyin ]]

Dernière version du 22 août 2018 à 15:47

Mythes des Dieux

Mælyre la Conteuse

Les contes qui narrent les bienfaits de Mælyre sont sans conteste les plus nombreux dans les villes Narylins ; mais aussi dans tout Lyin. Et malgré le fait qu'il existe beaucoup de versions de ces contes, différents sur nombre détails, une trame essentielle peut facilement en être extraite ; et la voici à peu près :

Mælyre, Déesse de la Sagesse et de la Connaissance, lasse de l'ignorance dans laquelle les résidents de l'Ætharium maintenaient les mortels, décida de leur apparaître en personne. C'était la première fois qu'une divinité apparaissait aux mortels, et tous ceux qui purent la voir en gardèrent un souvenir impérissable jusqu'à la fin de leur vie. Et si tous s'accordaient à la décrire d'une beauté sans pareil, nul n'en donnait la même description, comme si elle était apparue différente pour chacun d'entre eux.

Ici, même si nombre récits divergent quand au lieu dans lequel Mælyre seraient apparue, une majorité d'entre eux, notamment les plus contemporains, s'accordent à dire qu'il s'agissait de Sylnorrilan, ville fondée aux abords de la Mer Rhamylda (qui s'appelait alors encore la Mer Nylnarilyn) ; depuis renommée Synmælyre.

La déesse enseigna alors aux Hommes les origines du monde, des Dieux, des mortels et des créatures vivantes. Elle leur apprit encore la magie, le jugement et la sagesse, puis elle se rendit aux autres races leur dispenser les mêmes bienfaits ; chargeant ses élèves de répandre sa parole au sein d'Alcea[1]. Il est dit que ces élèves, qui entendirent la Vérité de la bouche même de la déesse devinrent immortels, portant à jamais en eux le souvenir de la Beauté et la Sagesse infinies de Mælyre la Conteuse.

La naissance du Fragment Démoniaque

Il est dit dans bien des contes que le Fragment Démoniaque n'a pas toujours existé, mais qu'en réalité, Lyeth, dieu de la Folie, l'aurait créé de lui-même afin de pouvoir y exhumer les plus terrible créatures qu'il ait inventées. D'après la légende, Swyn, sœur cadette de Lyeth, et le Dieu-Cauchemard lui-même inquiétèrent au sein de l'Ætharium pour que la création de l'aîné reste inconnue des Dieux. Cependant, lorsque ceux-ci l'apprirent, tous se retournèrent contre Lyeth et sa sœur et voulurent les chasser du panthéon. La légende dit ensuite que Mælyre intercéda en leur faveur auprès de Nymelia elle-même pour leur éviter d'être bannis de l'Ætharium. La Déesse Tisserande se rendit aux arguments de Mælyre, qui arguait que les bannir ne ferait qu'empirer les choses, et intercéda elle-même auprès de Væ pour qu'il ajourne son verdict. Les légendes disent qu'alors, un nouveau jugement eut lieu, et que Swyn et Lyeth point ne furent bannis de l'Ætharium. Nul ne sait en revanche pourquoi les Dieux n'ont défait la création de Lyeth, ni la punition que les deux Dieux reçurent.

Légendes des Hommes

Les Exorcisés

Les Exorcisés sont des combattants légendaires responsable de la Croisade des Exorcisés qui débarrassa Lyin des démons qui hantaient son Fragment Démoniaque. Depuis ce jour, que les Mortels s'accordent à dater vers l'an deux cent ; les Exorcisés sont dits n'être jamais revenus du Fragment Démoniaque. Certains racontent parfois avoir croisé une armée d'Ombres marchant, inébranlables, vers une destination connue d'eux seuls ; d'autres disent avoir rencontré Azrael, leur Maître ; d'autre encore disent avoir aperçu leur légendaire monastère d'entraînement avant qu'il ne disparaisse dans les Ombres. Cependant, d'entre eux tous, il est difficile de choisir à qui accorder crédit.

Certaines choses demeurent certaines cependant : À leur création, les Exorcisés étaient commandés par Azrael, combattant hors-pair et commandant sans égal. Ils étaient alors au nombre de vingt. Vingt combattants surentraînés, dont on dit qu'ils étaient rendus résistants aux maléfices du Fragment Démoniaque par la possession de leur corps par un démon majeur, dont ils étaient ensuite exorcisés par la force.

Quelques années après la fondation de leur Ordre, les Exorcisés décidèrent de mener une croisade dans le Fragment Démoniaque même, afin d'éliminer le mal à la source. Aidés par le Maître Abjurateur Elden Ætis ; ainsi que par des centaines d'Hommes, Elfes, Nains, Kitsunes, Léonins, Loxodons et Avemins, ils se rendirent dans le Fragment Démoniaque, et menèrent la Première Croisade des Exorcisés, qui extermina tous les démons majeurs du fragment Démoniaque, ainsi que tous les démons mineurs qui s'y trouvaient alors.

Depuis ce jour, il est dit que jamais les Exorcisés ne revinrent du fragment Démoniaque, errant à jamais en une croisade sans fin.

En l'an trois cent soixante-dix, lorsque que l'Âme de Lyin se corrompu de nouveau, et que les démons majeurs réapparurent, messagers ce qui aurait pu devenir un Second Âge Démoniaque ; l'Ordre des Exorcisés prouva que point n'étais-ce légende.

Il n'y eut jamais de Second Âge Démoniaque.

La Mer Rhamylda

La Mer Rhamylda, lac gigantesque qui sépare à l'est Alcea des Grandes Plaines d'Elyssea, tire son nom d'une légende bien connue des Alcéens. À l'origine, cette étendue d'eau ne portait pas de nom, jusqu'à ce que les Narilyns ne la découvrent lorsqu'ils s'éloignèrent des côtes occidentales. Ils baptisèrent naturellement ce lac Mer (pensant, en le voyant, que ce lac gigantesque ne pouvait être qu'une mer) Nylnarilyn (Nyl- étant le suffixe désignant les mers dans leur dialecte). Plusieurs décennies passèrent, et c'est bien plus tard, alors que Sylnarilyn s'était déjà imposée comme l'une des villes les plus importantes d'Alcea, que la légende prend place. On dit que le souverain d'alors, dont le nom a été perdu depuis, fut forcé par les dieux eux-mêmes de noyer sa compagne, Rhamylda, dans la mer Nylnarilyn pour leur prouver son dévouement et conserver leurs grâces. La légende raconte qu'il aurait fini par accepter la volonté des dieux après que Rhamylda elle-même, inquiète de la fatigue et la folie qui s'accumulait chez lui à force d'insomnies passées à haïr un peu plus les dieux, n'insiste auprès de lui qu'il ne cède à leurs exigences. Après avoir noyé sa compagne dans la Mer qui fut ensuite nommée Mer Rhamylda, ce souverain serait mort de fatigue et de chagrin mêlés.


Notes

  1. Il est à noter que chaque race se considère comme la première a avoir reçu la Vérité de la Déesse ; et toutes selon le même modus operendi. Il convient donc d'adapter ce paragraphe aux diverses autres races le cas échéant.